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Lorsqu’on s’adonne à la pêche, que ce soit par plaisir ou de façon professionnelle, on vise tous le même but : avoir de beaux poissons savoureux et en santé. Or, il peut arriver que certains d’entre eux soient parasités. Comment reconnaitre les poissons parasités? Peut-on consommer ces poissons quand même? Comment s’assurer des prises en santé?

Essayons de comprendre…

Comment détecter les poissons affectés par des parasites

Il est utile de savoir qu’il existe deux sortes de parasites : une maladie qui attaque les nageoires et les branchies, visible lorsqu’on sort notre prise de l’eau ; et les parasites qui se développent à l’abdomen, au foie, à l’intestin et à la chair, repérables seulement lors de l’éviscération du poisson. On peut alors y retrouver deux types de vers.

L’un prend la forme de larves, des parasites qu’on retrouve particulièrement chez les espèces suivantes : saumon, perchaude, truite, doré, brochet, éperlan. Ils attrapent ces larves en se nourrissant de copépodes, porteurs des larves parasitaires.

L’autre est un ver plat de couleur jaunâtre, de 20 à 60 centimètres de long. Impossible à manquer. Les poissons parasités par ce ver ont l’abdomen qui gonfle et la peau devient lisse et tendue.

Ces points noirs que l’on ne veut pas voir

Sur les nageoires et les branchies, de points noirs indiquent qu’il y a parasites, cependant ils ne sont pas toujours faciles à discerner. Ils signifient que des kystes se développent dans l’abdomen ou les muscles des poissons. Les mêmes espèces mentionnées plus haut peuvent être atteintes par ce type de parasites.

À consommer avec certaines précautions

Bien que certains types de parasites donnent une allure moins intéressante au poisson, ces derniers demeurent comestibles. Même si les cas d’infection chez les humains sont très rares, quelques mesures de précaution sont toutefois recommandées :

  • Faire cuire la chair jusqu’à atteindre une température de 63°C et la conserver durant 15 secondes.
  • Congeler le poisson à -20°C pendant au moins 7 jours.
  • Éviter de consommer tout poisson qui présente une anomalie physique.
  • En cas de doute, on ne prend pas de chance!

Pour plus de détails, nous vous invitons cependant à consulter le Guide de consommation sécuritaire de poissons sauvages, émis par le ministère Forêts, Faune et Parcs.

Pêcher en pourvoirie : une solution pour des poissons en santé

Certaines pourvoiries, et nous sommes fiers d’en faire partie, proposent des séjours en chalet et des expériences de pêche dans des lacs où ne se retrouvent que des espèces indigènes, comme c’est le cas à la Pourvoirie Mekoos avec l’omble de Fontaine.

Nous avons le souci d’effectuer une bonne gestion de nos lacs sur notre grand territoire de 135 lacs qui comporte de nombreux plans d’eau allopatrique, c’est-à-dire n’abritant qu’une seule espèce. Ce qui limite considérablement les risques de contagion. Nos guides de pêche professionnels sauront vous aider à rendre votre pêche des plus enrichissantes et des plus sécuritaires.

Une pêche agréable et saine dans une pourvoirie des Hautes-Laurentides, c’est ce qu’on offre